TOP
Image Alt

Tous les articles

Le terme de nature désigne non seulement le monde non humain, mais aussi tout aussi bien « un principe considéré comme produisant le développement d’un être et réalisant en lui un certain type », une notion d’origine vitaliste et animiste

Ils disent que c’est la vie Ils disent que la mort fait partie de la vie Ils disent c’est la nature qui veut ça. Voilà à peu près ce qu’ils disent.

La remise en cause du spécisme questionne les objectifs de l'écologie ; la prise en compte des intérêts des êtres sentients de la planète permettrait une évaluation claire des dommages causés "à l'environnement" et constituerait donc une boussole précise pour

Certains types de rapports sociaux bien spécifiques, les rapports d'appropriation d'une classe par une autre (le servage, l'esclavage, ce que Colette Guillaumin appelle le sexage, mais aussi l'élevage, etc.) génèrent spontanément une idéologie naturaliste : les appropriés sont des êtres

Éric Fassin, sociologue, décrit ici le recours du Vatican à l'idée d'ordre naturel et de nature humaine ("universalité anthropologique", en novlangue contemporaine) ; l'Église catholique est en effet une grande productrice et consommatrice de l'idée de Nature

Les présupposés d'ordre naturel divin, puis d'équilibre naturel, ont façonné profondément l'écologie, une science qui peine à se défaire de l'emprise de présupposés métaphysiques ou religieux. En voici un rapide panorama historique !

Dans ce court article, Estiva Reus présente un texte fameux de John Stuart Mill, qui se propose d’examiner la validité des doctrines qui font de la Nature un critère du juste et de l’injuste, du bien et du mal. Un

L'idée maîtresse du livre est que la notion d’ordre entrave la compréhension du vivant : chaque chose serait déterminée dans ses rapports aux autres, possèderait une place attitrée. Cette idée sévit dans tous les domaines, mais la vie en est le